Revue de presse

Publié le par Webmaster Ringuette Québec

Au cours des prochains mois, jaimelaringuette.com présentera une revue d'articles où la ringuette est à l'honneur.

------------------------------------------------------------------------------

Cités Nouvelles - 6 octobre

Par Katy-Ann Thibault-Maroist

Octobre: le mois du cancer du sein

«Patinez pour la vie» prend la relève de «Marchez pour la vie»
Une activité sportive plus originale pour le cancer du sein a été organisée dans la nuit du 30 septembre à Pointe-Claire. Plusieurs équipes de ringuette jouaient pour amasser des fonds pour la cause.
Pour le mois du cancer du sein qu’est octobre, une foule de marches sont mises en branle, mais d’autres associations sportives se sentent concernées. C’est le cas de la ringuette par exemple, qui a mis sur pied un marathon de nuit. En effet, dans la nuit du samedi 30 septembre, huit équipes féminines provenant principalement de l’Ouest-de-l’Île: Pierrefonds, Kirkland, Pointe-Claire, Beaconsfield, étaient de la compétition.

L’aréna Bob Birnie, de Pointe-Claire, regorgeait de rose pour rappeler la cause. Eva Erfle, qui participait à l’événement, nous décrit la place et l’ambiance: «On avait des ballons en forme de seins, tout était rose, les décorations et tout. Des femmes nous contaient des histoires sur le cancer du sein. Tout ça nous rappelait pourquoi nous étions là.»
Cohésion
Octobre: le mois du cancer du sein
Une activité sportive plus originale pour «Beaucoup de personnes ne participeraient pas à des collectes de fond, mais avec une activité qui les touche, ça fonctionne bien», déclare Artemis Erfle, en charge de l’association féminine de Pointe-Claire et coordonnatrice des femmes dans la catégorie senior. Brenda Downes, présidente de ce tournoi amical, confie: «Ça leur ouvre les yeux sur cette maladie et ça fait en sorte que les gens feront peut-être quelque chose d’autre à l’avenir.»
Jouer la nuit
Selon les dires de plusieurs participantes, l’activité était très plaisante, mais le fait qu’elles doivent jouer pendant la nuit faisait-il obstacle pas à la cause? Eva Erfle, qui se voulait la porte-parole de ses consoeurs, affirme: «C’était certainement plus difficile et mon corps n’était pas aussi énergique. On avait une heure ou une heure et demie entre les matchs. On buvait et on mangeait pendant ces périodes de repos. L’énergie était haute quand on jouait et basse entre les parties. On a dû se préparer différemment pour cette activité : j’ai dormi environ cinq heures pendant l’après-midi qui précédait. [...] Même quand il était tard et qu’on était fatigués, on se disait que c’était pour une bonne cause et ça nous motivait à continuer.»


Publié dans Tournois terminés

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article